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Des idées, des conseils, des exemples inspirants...
​et un poil de fun

Et si votre épargne avait un impact positif sur le monde tout en restant performante ?

7/28/2018

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Heureux de vous retrouver pour poursuivre notre parcours estival sur l’épargne éco-responsable ! La semaine dernière, on vous interpellait dans notre premier article sur le sens que vous donnez à votre argent ... ou pas ! Vous avez peut-être eu un déclic, un éclair de conscience en lisant notre papier ou  c’était juste la lecture de plus qui vous a fait basculer. On n’aura pas perdu notre temps au moins...
Pour assurer un avenir apaisé et respirable à nos enfants, nous avons commencé à changer nos logiciels de pensée et revoir nos manières de vivre, produire, consommer et créer de la richesse. La finance n’échappe pas à cette mutation en profondeur. Et, de surcroît, elle doit y contribuer. Pourtant, les acteurs historiques sont un peu à la traîne. Les lignes bougent difficilement, surtout dans un secteur d’activité historiquement monopolistique et très réglementé. Mais, haut les coeurs ! Tous les espoirs sont permis, ça commence maintenant. La preuve dans la suite de cet article. 

​“Jeune Skywalker, apprends à maîtriser…” l’épargne éco-responsable

​Qu’importe que ce soit par opportunisme pour s’adapter à une demande qu’elle sent de plus en plus pressante ou parce que certains convaincus oeuvrent aussi en leur sein (“si si, y’en a !”), les acteurs traditionnels commencent à prendre en compte ces nouveaux enjeux. Le secteur intègre désormais une dose de social et/ou d’environnemental dans ses solutions. Vous serez même surpris d’apprendre que les produits d’épargne éco-responsable, par exemple les fonds misant sur les entreprises les plus vertueuses en matière de responsabilité sociale et environnementale (RSE), obtiennent les meilleurs rendements dans le temps (cf. plus bas les fonds ISR). En clair et sans décodeur, cette épargne vertueuse ne vous impose pas de sacrifier vos convictions et valeurs à vos attentes en matière de rentabilité, et inversement. Avec de tels atouts, vous vous demandez certainement comment vous avez pu passer à côté ? A qui la faute ? A votre banquier ? A votre manque de curiosité ?
 
Vous n’êtes pas titulaire d’un master en finance de marché ni d’un MBA et le domaine de la banque vous fait fuir ? Pas de panique ! On va faire de vous de vrais petits “jedis” dans la galaxie des placements éco-responsables, histoire de vous faire rallier le bon côté de la force. Un grand choix de produits s’offre à vous, ouvrez grand le coffre de votre Faucon Millenium.

​L’épargne responsable : mettez de la vie dans votre assurance vie !

​Il existe des assurances vie qui se démarquent des produits classiques, à savoir des fonds en euros qui représentent un tiers de l’épargne financière des Français et garantissent le capital. Signe que les épargnants recherchent la sécurité, ces contrats représentent 80 % des 1 650 milliards versés dans l’assurance-vie. Pour les plus audacieux et engagés d’entre vous, vous pouvez aussi opter pour des unités de compte qui vous offrent la liberté de choisir des supports en fonction de votre sensibilité au risque et de vos préférences individuelles
Au sein des contrats d’assurance vie, nous sommes une majorité à plébisciter les fonds en euros. Ils rapportent peu mais offre l’avantage de garantir le capital. Ils  représentent 80 % des 1 650 milliards au total, Signe que les épargnants Français recherchent la sécurité. Mais il existe aussi des supports qui se démarquent. Pour les plus audacieux et engagés d’entre vous donc, vous pouvez opter pour des unités de compte (aussi connus sous le nom de code “UC”) qui offrent la liberté de choisir des supports en fonction de votre sensibilité au risque et de vos préférences individuelles. Concrètement, vous avez la capacité d’investir votre argent dans des entreprises de l’économie réelle. Encore mieux, en choisissant des fonds ayant le label ISR, vous investissez dans des entreprises ayant adopté des pratiques respectueuses en matière sociale et environnementale. Vous pouvez ainsi influencer ces mastodontes pour encourager les bonnes pratiques. Il est possible de sélectionner ces fonds en fonction de thématiques spécifiques (énergies renouvelables, emploi, eau…), mais difficile de s’y retrouver et surtout de trouver un niveau d’exigence à sa mesure sans l’aide d’un professionnel. Faites-vous accompagner ou, a minima, allez faire un tour sur internet, par exemple sur le site de Finansol (www.finansol.org), pour identifier les placements les plus sérieux et engagés.

​L’épargne solidaire

Avec des encours de 11,5 milliards d’euros en 2017, les produits d'épargne solidaire ont vu leur encours grimper de 18,3% (source: baromètre Finansol de la finance solidaire). Les placements solidaires sont directement investis dans des structures de différents domaines tels que l’insertion, le logement social, la microfinance, les énergies renouvelables, le commerce équitable ou encore l’éducation… Parmi ces placements, l’on trouve des livrets et des OPC. Toujours selon le baromètre Finansol 2017, plus d’un million de Français ont choisi l’épargne solidaire pour 2 millions environ de produits solidaires souscrits. Alors, êtes-vous prêts à grossir les rangs ?

- les livrets solidaires : 100% de l’épargne collectée est fléchée vers les acteurs de l'Économie Sociale et Solidaire (ESS). Grosso modo, vous vous constituez une épargne de sécurité (aucun risque de perdre sa mise), liquide (vous pouvez déposez ou retirez de l'argent quand bon vous semble) qui soutient des entreprises ayant des activités à fort impact social et/ou environnemental. La NEF, coopérative de finance éthique, et le Crédit Coopératif sont les deux figures emblématiques de cette nouvelle finance inclusive. Le petit "plus" offert par ces banques éthiques concerne la possibilité de redistribuer tout ou partie des intérêts produits à des associations. On parle alors de livrets de partage.  

- les fonds 90/10: si vous avez la chance (ou la malchance – chacun voit midi à sa porte) de travailler dans un grand groupe, vous pouvez être associé à sa réussite financière via le versement d’un intéressement, d’une participation ou d’un abondement sur un plan d’épargne entreprise (PEE). La loi Fabius de 2001 a imposé la présence d’au moins un fonds solidaire dit 90/10 au sein des contrats d’épargne salariale. Ces fonds permettent de flécher votre argent sur des projets utiles socialement, en France ou à l’international, mais sur une partie seulement de l’enveloppe du fonds (maximum 10%). Le reste - de plus en plus géré selon les principes ISR - est placé dans des entreprises plus “classiques”, et permet de garantir un certain rendement et la liquidité des fonds (il est plus facile de revendre une action d’une grande entreprise cotée en bourse qu’un titre participatif dans une structure de l’économie sociale et solidaire). Un (presque) scoop rien que pour vous ! Dans un avenir proche, il pourrait être obligatoire pour les banques de proposer au moins un fonds 90/10 au sein de leurs contrats d’assurance vie. Dans un marché régi par l’offre, on aime bien quand la réglementation donne un vrai coup de pouce aux placements éco-responsables !

​Laissez-vous tenter par le crowdfunding (ou financement participatif “dans la … langue de Molière”)


Le crowdfunding, c’est littéralement le financement par la foule. Il existe sous trois formes pour permettre aux entreprises de lever des fonds. En capital (ou equity), les investisseurs (des particuliers comme vous et nous) obtiennent des parts du capital des startups et sont actionnaires à part entière. Le crowdfunding en dette (ou lending) permet aux entrepreneurs de lever des fonds sous forme d’emprunts qu’ils remboursent aux prêteurs (vous et nous encore) selon des conditions prédéterminées (échéances, taux d’intérêt). Enfin, il existe le crowdfunding en royalties correspondant à l’achat d’un pourcentage du chiffre d’affaires : on parie sur la réussite commerciale de l’entreprise, mais ici, on ne fait pas partie du tour de table. Vous suivez toujours ? Tant mieux ! On en vient maintenant aux éléments caractéristiques des investissements en  crowdfunding : l’impact, le rendement et le risque.
​S’ils attirent déjà bon nombre d’investisseurs particuliers - 336 millions d'euros collectés à fin 2017 auprès de presque 4 millions de financeurs, selon le baromètre réalisé par KPMG pour Financement Participatif France (FPF), c’est principalement parce qu’ils génèrent des impacts sociaux, sociétaux ou environnementaux majeurs ciblés et mesurables. En contrepartie de quoi, ils présentent un risque élevé. On n'a rien sans rien ! Plus risqué mais plus musclé ! Côté rendement, là aussi, ça reste incertain. Même si le lending permet de border son échéance et son rendement (au risque de défaut près), c’est beaucoup moins maîtrisable sur l’equity ou les royalties, avec de surcroît un faible recul sur cette activité encore nouvelle finalement. Par conséquent, si vous décidez de vous lancer dans ce type d’investissement, il est vrai particulièrement attractif en termes d’impact, faites-vous accompagner par un professionnel ou choisissez bien votre plateforme d’investissement si vous voulez maîtriser un minimum vos perspectives financières.

​C’est qui le patron ?

​Avec ce tour d’horizon, on espère avoir démystifié l’épargne éco-responsable et vous avoir convaincu(e) que l’ère de l’opacité financière est terminée. Etes-vous désormais conscient(e) que vous avez le pouvoir de reprendre les rênes de votre épargne ? Que vous pouvez influer sur le sens dans lequel doit aller notre le monde ? Et que c’est, moralement et financièrement, la meilleure façon de placer votre épargne ?
 
Comme cette sirène ou ce bel apollon qui sort de l’eau, l’épargne qui marie sens et performance est à portée de main… Donc, on arrête de rêver et on passe à l’action ! On vous donne rendez-vous dès la semaine prochaine (et les suivantes) pour un panorama des solutions par thème. Vous allez identifier plus précisément comment vous pouvez devenir un épargnant engagé et mettre du sens, de la vie dans vos investissements. Agissons et utilisons notre argent comme une arme de reconstruction massive !

​Trois inspirations pour la route, à partager avec vos voisins de serviettes

Le Marc Toesca de la semaine : “Hey Mister”, Ben Harper, 1995
https://www.youtube.com/watch?v=zZEGhcekgHw

Le 3615 de la semaine : NOVAFI, le site de référence pour ceux qui veulent approfondir la finance durable http://novafi.fr/fiches-pratiques/
 
Le droit de réponse de la semaine : “L’économie symbiotique: régénérer la planète, l’économie et la société” par Isabelle Delannoy et Dominique Bourg- Acte Sud
https://www.colibris-labonovafi.fr/fiches-pratiques/utique.org/livres/132-economie-symbiotique-9782330080211.html
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Tout ce que vous n'avez jamais voulu savoir sur l'épargne et que vous osez désormais demander

7/4/2018

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La période des vacances est souvent propice à de grandes réflexions (et à de grandes effusions de joie et de communion populaire cette année, bravo les Bleus !), qu’elles soient existentielles ou plus terre à terre. Loin du tumulte de la vie quotidienne, des urgences professionnelles, et confortablement installé dans votre transat, vous pensez peut-être à la scolarité de vos enfants, aux travaux de rénovation de votre appartement, aux dépenses imprévues de la rentrée ou tout simplement à vos prochaines vacances. Et à juste titre, vous vous demandez combien il reste sur votre livret et si vous avez fait ce qu’il fallait pour optimiser votre épargne. On se préoccupe de l’épargne pour ce qu’elle nous permet de réaliser quand on s’en sert, beaucoup plus rarement pour ce à quoi elle est utilisée quand on la laisse fructifier (plus ou moins bien d’ailleurs, on le verra dans un prochain article) à la banque.

Dans le rétro (pour les Alain Decaux en herbe, mais pas que…)

Saviez-vous que le mot épargner vient de « esparigner » signifiant « ne pas tuer, laisser vivre » ? Ainsi, l’épargne serait une façon de ne pas « tuer » son argent et de le faire fructifier utilement. Pourtant, depuis plus de trois siècles, bien placer son argent est synonyme de rentabilité financière. Jusqu’à très récemment, un placement n’était considéré qu’au travers des intérêts ou de la plus value qu’il pouvait générer. 
Historiquement, c’est à la révolution industrielle au 19ème siècle que l’on doit les premières initiatives autour de l’épargne grand public. Le prolétariat subit de profondes mutations et le salariat de masse fait son apparition. De nombreux ouvriers, bien que rémunérés, se trouvent en situation d’endettement. Un banquier philanthrope du nom de Benjamin Delessert fait de la condition ouvrière sa cause et décide de créer la première caisse d’épargne et de prévoyance en 1818. Pour la première fois en France, un bourgeois tout comme un ouvrier peut déposer une somme d’argent pour réaliser des projets de long terme. Durant les Trente Glorieuses, les salariés se voient offrir des supports d’épargne, tendance accentuée par la mensualisation des salaires et l’augmentation du pouvoir d’achat à partir des années 70. En 1997, la création de nouveaux dispositifs d’épargne salariale vient renforcer les encours globaux de l’épargne. Enfin, les nouvelles technologies et la démocratisation d’internet modifient les règles du jeu de l’offre et de la distribution des produits d’épargne au travers notamment de banques en ligne (souvenez-vous de vos 1ers trades sur boursorama) et plus récemment de nouveaux entrants sur le marché du financement participatif (nous y reviendrons dans un prochain article).​

“épargner” en France, kezako ?

L’épargne est l’argent qui n’est pas dépensé, ce qu’il vous reste à la fin du mois quand vous avez fait face aux “dépenses courantes”. Elle représente environ 14% des revenus des Français, les plus gros épargnants d’Europe (en gros, 60% en immobilier, 40% en épargne financières). Parmi les placements financiers préférés des Français – vous vous reconnaitrez certainement -, figurent le Livret A et le LDD et, loin en tête, l’assurance vie en euros. Rien d’étonnant car, nous, Français, sommes connus pour ne pas avoir la culture du risque en matière de finance ! D’où des préférences individuelles pour des placements sûrs, gérés en « bon père de famille ». Dit autrement, nous mettons au cœur de nos priorités la garantie du capital, idéalement agrémentée d’incitations fiscales.
Aujourd’hui, l’épargne financière des Français, c’est presque 5 000 milliards d’euros ! Oui, vous avez bien lu ! Mais peut-être pas bien réalisé le potentiel d'impact considérable de ce magot. Imaginez, avec 2% d’intérêts (donc sans toucher au capital), les Français pourraient à eux-seuls financer les 100 milliards d’euros annuels demandés aux Etats-Membres par l’ONU pour régler l'impact du réchauffement climatique dans les pays en voie de développement..

​A quoi sert votre épargne financière ?

​Mais alors, qu’est-il fait de notre argent et qu’en savons-nous ? Selon une étude menée en 2017 par Opinion Way pour le compte de Robin’ Finance, 80% des personnes interrogées estiment que l’épargne sert d’abord à financer les activités des banques, en particulier leur fonctionnement et développement et leurs investissements. 69% pensent qu’elle alimente la spéculation financière. Autre chiffre à retenir : 52% considèrent qu’une partie de leurs fonds est affectée au financement de la dette publique. Trop abstrait, pas assez vertueux, ce fléchage serait-il jugé décorrélé de l’économie réelle ?
En théorie, l’argent du Livret A, du LDD et des livrets d’épargne logement est essentiellement prêté à l’Etat et aux collectivités qui l’utilisent pour construire des logements sociaux, des routes, des écoles, des hôpitaux, pour financer la transition écologique… Dans les banques, l’épargne peut aussi être transformée en crédits bancaires à destination des ménages ou des entreprises. Autre relais de croissance des entreprises : l’épargne investie dans les marchés financiers au travers de produits tels que le PEE[1], PEA[2], PERCO[3], comptes titres ou assurance vie. L’argent peut également être investi en bourse via des fonds d’investissement, des OPC[4]ou des SICAV[5]. Ainsi, quand nous détenons (directement ou indirectement) des actions d’une entreprise, cela signifie que nous sommes propriétaires d’une partie de son capital et lui donnons les moyens de son développement. En investissant en obligations, nous prêtons de l’argent aux entreprises ou collectivités.
En pratique, l’argent de notre épargne est souvent sous-exploité : les crédits bancaires sont très peu accordés aux individus qui sortent des profils standard ou aux jeunes entreprises innovantes qui construisent le monde de demain. Moins de 20% des montants épargnés sont injectés dans l’activité économique.

______________________________________
[1] Plan Epargne Entreprise
[2] Plan Epargne en Actions
[3] Plan d’Epargne pour la Retraite Collectif
[4] Organisme de Placement Collectif
[5] Société d’Investissement à Capital Variable


​La nouvelle donne

​Les temps changent et la façon d’investir aussi. Et si on pouvait simultanément préparer son avenir et prendre soin du monde ? Paris, rue de Toul, 12ème arrondissement : la construction de 53 logements sociaux vient d’être lancée. “Rien de nouveau sous le soleil” rétorquerez-vous. A quelques différences toutefois. Ce projet innovant, porté par la société Perl en partenariat avec la Fondation Abbé Pierre, intègre par exemple les principes de l’économie circulaire : la résidence accueillera une chaudière numérique réutilisant la chaleur de serveurs informatiques. Mais surtout, ce programme immobilier a été non seulement co-construit avec les riverains du quartier, mais aussi financé par l’épargne de particuliers !

​Conscience is the new bank

​En synthèse et sans verser dans le militantisme écolo-bobo ou altermondialiste, on observe et on prend conscience un peu plus tous les jours que notre mode de développement atteint ses limites. On aspire à plus de cohérence entre nos valeurs, notre vision du monde et nos actes au quotidien, qu’il s’agisse de s’alimenter, de s’habiller, de voyager, de se déplacer et même de travailler ! Et naturellement, on s’intéresse de plus près à notre épargne, à comment on peut en reprendre le contrôle (délégué jusque-là à des banques peu à l’initiative en matière de développement durable) et l’utiliser pour s’attaquer à des problèmes qui nous tiennent à cœur.

Rendez-vous la semaine prochaine, on vous explique comment s’y prendre concrètement !
D’ici là, on vous souhaite de longs débats éclairés sur le sens de l’épargne et de joyeux apéros en famille et entre amis… ou l’inverse ;)

​Trois inspirations pour la route, à partager avec vos voisins de serviettes

Le Marc Toesca de la semaine : “ The Times They Are A Changin' ”, Bob Dylan, 1964
https://www.youtube.com/watch?v=e7qQ6_RV4VQ

Le 3615 de la semaine : le très bon manifeste du secours catholique pour que la finance soit rendue aux citoyens
http://lafinanceauxcitoyens.org/

Le Droit de Réponse de la semaine : Pierre Rabhi, “Les excès de la finance ou l'art de la prédation légalisée”, pour en savoir plus sur les fondements de la crise de 2008
​https://www.leslibraires.fr
gisemo vous propose tout l’été un article hebdomadaire pour vous familiariser avec l’épargne éco-responsable, sans vous prendre la tête : découvrez les 36 façons d’épargner de manière performante et durable et sachez dénicher les meilleurs placements éthiques, green ou solidaires.
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    Yann

    épargnant éco-responsable convaincu et consultant fintech souhaitant partager son expérience, fondateur de gisemo

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