Un vieux proverbe birman disait déjà il y a bien longtemps : "Un arbre tombe, plantes-en un autre". Les forêts sont un maillon essentiel de la vie sur terre : elles sont un régulateur thermique clé, elles sont un abri majeur de la biodiversité et, par-dessus tout, elles sont un producteur majeur (avec les océans) de l'oxygène que nous respirons. Selon les données de la Banque Mondiale, les forêts couvraient près de 4 milliards d'hectares dans le monde en 2015, soit 30% de la superficie des terres émergées contre 32% en 1990. En effet, malgré de nombreux programmes de gestion plus durables des forêts, la planète continue à perdre, de moins en moins, mais toujours plus de 3 millions d'hectares par an. Et la concentration de la majorité des ressources entrer les mains de rares états dont certains peu rassurants au niveau de leur vision écologique (Russie, USA et récemment le Brésil) laisse le problème entier. Alors, que pouvons vous faire ? Comment contrecarrer ce phénomène et œuvrer pour le reboisement des zones déforestées et la préservation des forêts existantes ? En prolongement des actions concrètes des associations et ONG sur le terrain et en complément des comportements vertueux que vous pouvez adopter au quotidien (papier recyclé, bois durable…), nous vous éclairons sur les possibilités que vous ouvre votre épargne pour vous engager facilement pour cette cause. Acheter un arbreC'est une possibilité accessible simplement en ligne, savamment développée par les médiatiques militants sylvestres bretons d'Ecotree https://ecotree.fr/
Acheter une fôretLà, ça envoie du bois ! Deux variantes, plus ou moins exigeantes en termes de ticket d'entrée et d'implication 1/ Acheter une forêt en direct
2/ Acheter des parts d'un groupement forestier d'investissement (GFI). Plus accessible et plus simple
En attendant, en encore plus simple et sans investir 1€, vous pouvez utiliser le moteur de recherche Ecosia qui utilise ses revenus publicitaires pour planter des arbres, déjà 1 par seconde ! https://info.ecosia.org/
1 Commentaire
Il vous tardait de retrouver nos conseils en mode cash et un poil décalé ? Rassurez-vous, nous avons encore un (tout) petit bout de chemin à faire ensemble avant la rentrée et nous nous en réjouissons. Les vacances riment souvent avec bonne bouffe, celle qui nous rappelle nos grand-mères, qui sent bon le terroir de nos campagnes, celle qui met à l’honneur des ingrédients bruts et sains, parfois oubliés, celle qui a le pouvoir de rapprocher les coeurs ! Cette cuisine là ne se trouve pas dans les fast foods et autres enseignes de restauration rapides et ne s’approvisionne pas dans les grandes centrales de distribution. Aujourd’hui, on a envie de partager avec vous quelques réflexions sur la manière de soutenir efficacement une alimentation simple, saine et équilibrée et, en filigrane, promouvoir une agriculture durable. Sans être un aficionado de l’orthorexie [1] ni un accro du véganisme, on aspire tous à vivre mieux, plus longtemps et en bonne forme. Cela passe notamment par ce qui se trouve dans notre assiette. Pourtant, depuis quelques années, les scandales alimentaires font régulièrement la une des journaux. Vous vous souvenez certainement de l’affaire des contaminations à la dioxine dans des élevages de porcs en Irlande, dans la fabrication de mozzarella en Italie et dans la production de farines pour le bétail. On se rappelle aussi de l’épidémie de la vache folle au début des années 2000 en Grande-Bretagne puis en France, de l’intoxication d’une quarantaine de personnes par la bactérie du E-coli et, plus récemment, de la contamination de lait infantile par la salmonelle. De la sécurité alimentaire à l’agro-écologie, il n’y a qu’un pas. Pas besoin d’attendre une autre crise pour comprendre que les méthodes d’agriculture intensive orientées principalement sur le rendement ont des conséquences dévastatrices sur la terre et les hommes. Pas besoin d’avoir fait une thèse en biologie moléculaire pour comprendre que les conditions d’élevage et d’abattage des animaux ont un effet sur la viande que nous ingérons et que la standardisation ou pire la modification génétique des semences aura probablement des effets pervers sur notre santé. [1] Manger droit” ou ensemble de pratiques alimentaires caractérisées par la volonté obsessionnelle d’ingérer une nourriture saine et le rejet systématique des aliments perçus comme malsains. L’agro-écologie et le bio, bien au delà de l’effet de modeVous aussi en sortant du bureau, vous allez récupérer votre panier bio issu de la meilleure AMAP de votre région ou chez le primeur du coin ? Vous aussi vous vous attardez le dimanche matin sur les étals du marché des produits locaux de votre quartier ? Vous relisez trois fois la composition d’une soupe déjà prête avant de l’acheter ? L’agro-écologie propose de fournir des réponses aux défis de la sécurité alimentaire, de la nutrition et du changement climatique. Nourris par la philosophie de Pierre Rabhi, nous croyons à un nouveau système alimentaire durable et une agriculture raisonnée et résiliente. Et nous ne sommes pas les seuls. Connaissez-vous Rutabago et Agriloops ? Rutabago – joli clin d’oeil à un légume malheureusement trop longtemps déconsidéré - propose des paniers bio prêts à cuisiner avec des ingrédients frais, variés livrés à domicile pour un nouveau mode de consommation écologique et socio-responsable. Le credo des trois co-fondateurs : la nourriture saine doit être la norme et non l'exception. Rutabago, c'est déjà 40 000 repas bio qui ont été livrés depuis le lancement, 2 tonnes de gaspillage alimentaire évités, 200 familles dans le besoin qui ont eu accès à des produits biologiques chaque semaine via une épicerie solidaire, de nombreux producteurs rémunérés au juste prix, etc… Après une première campagne de crowdfunding très réussie en 2017 puisque 150% de l’objectif initial de levée avait été atteint, Rutabago récidive avec une 2ème campagne. En ce moment, vous pouvez leur donner un coup de pouce sur www.lita.co. Nous, on fonce ! Maintenant, regardons ce qui se passe du côté des produits de la mer. La moitié provient de l’aquaculture. Depuis les années 80, la demande en crustacés dans les pays développés a entraîné une intensification de la culture de la crevette, et ce faisant, la destruction des mangroves et l’utilisation massive d’antibiotiques. La crevette qui arrive dans notre assiette est bourrée de substances nocives, a voyagé des milliers de kilomètres et, au final, n’a le plus souvent que peu de qualités gustatives. Qu’à cela ne tienne, Agriloops s’est fixé pour objectif d’offrir des crevettes ultra-fraîches élevées dans des fermes où la traçabilité est garantie et qui, cerise sur le gâteau, combinent l'élevage des crevettes avec le développement de légumes bio selon les méthodes aquaponiques. Alors, êtes-vous prêt à aider cette jeune entreprise qui cherche à financer son premier prototype aquacole ? Même les poids lourds s’y mettent !C’est un fait, les grandes enseignes s’activent pour intégrer dans leur offre des labels bio et des produits issus de l’agriculture durable. Même si elles ne le font pas que pour des raisons éthiques, la chasse aux de parts de marché oblige, c’est le résultat qui importe. En début d’année, le groupe Danone a annoncé qu’il faisait sa révolution bio. Après avoir lancé les 2 Vaches, la filiale bio dans l’ultra frais, le géant de l’agro-alimentaire propose désormais 6 gammes bio pour les laits, les infusions, les jus de fruits et les yaourts. Danone va même plus loin en s’engageant à indiquer d’ici 2019 la valeur nutritionnelle de ses produits au travers d’un “nutri-score”. Quand les grandes enseignes du secteur agro-alimentaire flairent les petits…Il est également intéressant d’observer le jeu des grandes enseignes qui, pour “bio-logiser” leur offre, nouent des partenariats avec de jeunes entrepreneurs talentueux. Ainsi, après avoir successivement acquis Greenweez en 2016 et So.bio le mois dernier, Carrefour lorgne du côté de starts up ingénieuses qui proposent, par exemple, des recettes de cookies à base de farine fabriquée avec du pain rassis, qui implantent des potagers urbains verticaux ou encore qui livrent des paniers-repas à cuisiner avec des ingrédients bio, locaux et de saison. On n’arrête pas le progrès… Et du côté du crowdfunding, il se passe quoi ?La spécialisation des plateformes de financement participatif est sans borne. Aux commandes de Blue Bees, le médiatique et engagé Maxime de Rostolan, fondateur des Fermes d’Avenir, a voulu créer un lien direct entre des projets innovants et des socionautes partageant les valeurs de l’agriculture durable. Sur Agrilend, vous aidez les agriculteurs à faire face aux défis climatiques et énergétiques et soutenir le développement de leur exploitation. Vous pouvez faire pousser votre épargne en prêtant entre 3 et 7% en fonction du risque du projet. Dans un autre genre, Miimosa s’adresse aux personnes soucieuses d’aider des associations, des coopératives, des commerces de proximité, des restaurateurs… à développer leur projet via un don avec contrepartie ou un prêt rémunéré. Parce que nous sommes ce que nous mangeons, vive le concept “de la fourche à la fourchette” !Ne trouvez-vous pas qu’il y a un paradoxe dans nos sociétés contemporaines entre d’un côté l’apologie du transhumanisme, promesse faite à l’homme “augmenté” d’une vie éternelle et la malbouffe entraînant de graves maladies civilisationnelles ? A cette question, on vous répondra qu’une partie de la réponse se trouve dans le militantisme et l’engagement. Il y a un militantisme que nous qualifierons de scientifique. Vandana Shiva, baptisée la “Ghandi des semences”, lutte pour préserver les graines et éviter toute modification génétique à l’aide des biotechnologies. En France, il existe aussi des associations de défense des semences issues de variétés libres de droit. Ce militantisme est essentiel si nous voulons maintenir la biodiversité ainsi qu’une alimentation riche et diversifiée. Et puis et surtout, il y a le militantisme ordinaire, celui que vous, nous, l’homme de la rue pouvons faire vivre au quotidien en étant plus sélectifs dans nos achats, notre style alimentaire, nos choix de consommation. Bien manger est un droit à la portée de tous. Et comme vous le savez désormais, on peut utiliser son épargne pour faire bouger les lignes. Alors, parce que notre santé et notre planète en dépendent, soutenons des entreprises et projets qui nous régalent immédiatement et nous préservent à long terme … tels les bons petits plats de nos grand-mères ! Trois inspirations pour la route, à partager avec vos voisins de serviettesLe Marc Toesca de la semaine: Tryo – L’hymne de nos campagnes, 1998
https://www.youtube.com/watch?v=srb0lAK5wbA Le VHS de la semaine : à voir ou à revoir “Soleil vert”, film culte de Richard Fleischer sorti en 1974 https://vimeo.com/234852979 Pour le plaisir des papilles : si vous avez la chance de passer vos vacances en méditerranée du côté de l’Ile Singulière, faites un stop gourmand à “l’Essentiel” (292 promenade du Lido à Sète), une cuisine identitaire, inventive et engagée, soucieuse de la qualité des produits et qui prend le temps de les cajoler pour mieux nous régaler : une tuerie ! https://www.tripadvisor.fr/Restaurant_Review-g660465-d14087420-Reviews-L_Essentiel-Sete_Herault_Occitanie.html?m=19905 A l’heure où vous êtes en train de faire trempette dans les eaux bleues de la Méditerranée ou d’explorer les fonds marins au large de Bali, vous avez peut-être eu la mauvaise surprise de rencontrer des objets flottants parfaitement identifiés : des bouteilles d’eau, des tubes de crème solaire, des couches-culottes, des sachets de chips et même des préservatifs… Intrusifs, les polymères sont partout, y compris dans les océans où ils représentent 80 000 tonnes de déchets dans le seul Pacifique. Cramponnez-vous à votre transat : 1 000 milliards de sacs plastique sont utilisés dans le monde tandis qu’un million de bouteilles en plastique sont vendues chaque minute ! La liste des déchets et des comportements humains et industriels qui détériorent nos écosystèmes, nos sols agricoles, notre biodiversité … est longue. L’urgence est palpable. Une espèce disparaît en silence toutes les 20 minutes ! Parmi quelques exemples marquants et parlants, on peut évoquer le dragage du sable qui sert à fabriquer le béton, responsable à lui seul de la destruction de 70% du littoral de la planète, la pollution des nappes phréatiques par les nitrates, l’utilisation de glyphosate dans les cultures, les centrales électriques alimentées par les énergies fossiles, l’extraction des métaux rares pour combler nos besoins de high tech… Un Plan national pour la biodiversité a été lancé le 4 juillet dernier pour faire de la biodiversité un objectif prioritaire au niveau français, européen et international et protéger la nature avec un grand “N”. Comment chacun d’entre nous peut-il renforcer cet élan politique et agir au quotidien, en particulier via le placement de ses économies dans des éco-entreprises pas seulement intéressées par le profit ? Ciblez les greentech, un investissement d’avenirEn France, de nombreuses jeunes pousses ont vu le jour dans le secteur des cleantech et de l’économie circulaire. Chouchoutées par l’Etat, les villes et les incubateurs, les starts up vertes proposent des solutions intelligentes face aux enjeux environnementaux. On vous emmène en Italie pour vous raconter la belle histoire de Novamont, société leader du secteur des produits bioplastiques entièrement biosourcés, biodégradables et compostables, qui opère également en France. L’idée est née quand l’un des fondateurs s’est aperçu que les restes alimentaires, qui remplissent un tiers de nos poubelles, partaient dans les décharges au même titre que tous les autres déchets. Une expérimentation pionnière a eu lieu, dès 2012 à Milan, pour tester une filière de collecte et de valorisation entièrement dédiée aux déchets alimentaires. Cette opération a démontré que l’un des pré-requis pour son succès était de mettre à disposition des sacs plastiques biodégradables, car sans cela, la collecte n’aurait eu aucun sens. Novamont entend promouvoir un nouveau modèle de bioéconomie dans le respect du vivant. Même si Novamont ne recherche pas actuellement d’investisseurs, cela donne envie de soutenir des initiatives qui s’inscrivent dans la même lignée. Des starts up qui ont plus d’un tour dans leur sac (bio)plastique !On a aussi envie de vous parler de Yoyo, une jeune entreprise bordelaise qui veut rendre sexy le tri du plastique grâce à un système de récompenses. Son fonctionnement est simple: le site web met en relation des particuliers - des “trieurs”- et des commerçants appelés “coaches”. En s’inscrivant en ligne, le trieur reçoit de son coach un sac en plastique recyclé destiné à contenir tous les emballages plastiques. Les sacs ainsi collectés sont réinjectés dans un circuit de production. Le tour est joué ! Le plastique est recyclé. Et le trieur gagne des points qu’il peut ensuite échanger sur la boutique en ligne de Yoyo (panier bio, cours de yoga, billet de cinéma…) Toujours sur la thématique de la collecte et du tri des déchets, on pense à Loveyourwaste, “une solution globale pour repenser les déchets alimentaires : les réduire en amont et mieux les recycler en aval” nous explique Juliette Franquet, co-fondatrice et directrice générale. Concrètement, tous les acteurs qui produisent des biodéchets notamment les restaurants d’entreprise, les cantines scolaires, les maisons de retraite qui produisent par définition de nombreux déchets organiques, sont encouragés et accompagnés pour leur récupération (620 tonnes par an) et leur transformation en biogaz via le procédé de méthanisation (93 000 m3 de biogaz générés). De notre point de vue, le petit supplément d’âme de Loveyourwaste réside dans sa vocation pédagogique à travers leur offre de formation, d'étude et communication. Le grand public, séduit par l’idée, a déjà aidé la start up à lever plus de 170 000 euros. Rassurez-vous, un autre tour de table est en cours. Vous ne serez pas en reste ! Une PME exemplaire loin des radars médiatiques engagée pour le “made in France”Autre exemple vertueux, cette fois-ci, du côté d’une PME déjà bien installée dans le paysage : Papeco, 60 employés, 13 M€ de chiffre d’affaires. Ce papetier, dont le premier site de production date de 1928, fabrique et transforme du papier d’essuyage de ouate de cellulose à partir du recyclage de papier de bureau (feuilles A4) récolté localement afin de réduire les transports et les émissions de CO². Le recyclage se fait sans désencrage, ce qui permet de limiter l’utilisation de produits chimiques. Papeco se décrit comme une entreprise “citoyenne et responsable” avec plus de 75 % de ses achats effectués auprès de PME françaises. Seuls 3% des achats sont effectués hors Europe. Papeco est à ce jour le dernier papetier spécialisé dans le recyclage dont le capital 100% français est détenu en totalité par les salariés. C'est aussi le papetier le plus engagé dans la réduction de son empreinte environnementale. L’objectif étant d’être autonome en énergie et neutre en émission CO² sous 10 ans. Coup de chapeau à Papeco et que ses bonnes pratiques fassent le buzz auprès d’autres acteurs de la filière … et au-delà ! L’eau, la vie !Pour les fans du crowdfunding, allez jeter un œil sur Ekosea, une plateforme de financement participatif entièrement dédiée à la mer et à l’environnement. Les fans de glisse, de sports nautiques ou tout simplement les amoureux des fonds sous-marins seront servis ! On aime la variété des projets à soutenir: des innovations techniques pour fabriquer des ancres écolos, développer des applis pour des marins non-voyants en passant par la promotion des femmes dans le nautisme au handisurf, il y a de quoi faire ! On aime la simplicité de fonctionnement de Ekosea : vous choisissez votre projet coup de cœur, vous donnez ce que vous voulez et en échange, vous recevez une petite contrepartie matérielle, proportionnelle à votre soutien… Petit coup de coeur du moment, Gawood Surfboard, qui propose divers surfs en bois biosourcés ou des stages pour carrément construire soi-même sa planche. A vous qui aimez notre Terre-mère Gaïa, vivez mieux votre argent !Il y a aujourd’hui tellement de façons de construire son patrimoine financier en investissant pour un avenir durable. Quelle que soit la façon dont vous envisagez de flécher vos euros - investissement dans des actifs forestiers, des fonds verts, des green bonds [1], souscription au capital de starts up de l’économie bas carbone…, l’important, une fois encore, c’est de passer à l’acte. La plupart des banques disposent (plus qu’elles ne proposent), dans leur gamme de produits de placement, différents livrets ou produits de placement dont les sommes sont investies dans des entreprises responsables ou des projets en faveur de la protection de l'environnement ou de la lutte contre la pollution. Les plateformes de crowdfunding complètent largement l’offre. Donc, vous avez la possibilité de trouver le type de support qui vous convient. Vous pouvez même bénéficier directement des retombées en soutenant des initiatives d’entreprises situées près de chez vous et profiter du double effet “kisscool” : vous faites fructifier votre argent en améliorant votre environnement direct ! [1] Le principe d’un green bond est qu’une entreprise, une association ou une organisation internationale émet une obligation sur les marchés financiers afin de financer un projet ou une activité à bénéfice environnemental. Trois inspirations pour la route, à partager avec vos voisins de serviettesLe droit de réponse de la semaine : “Le Scénario Zero Waste: Zéro déchet, zéro gaspillage” de Flore Berlingen, éditions “Rue De L'echiquier”, 2014
https://livre.fnac.com/a7724442/Collectif-Le-scenario-zero-waste Le Marc Toesca de la semaine : “When you gonna learn ?”, Jamiroquai, 1993 https://www.youtube.com/watch?v=eo7iwlMFPrM Le 3615 de la semaine : les photos de Thierry Suzan sur les splendeurs de la Planète http://thierrysuzan.com/ D’ailleurs, si vous passez du côté de Verdun cet été, ne ratez pas l’exposition “La beauté sauvera le monde” http://www.tourisme-meuse.com/fr/agenda-des-sorties/F939002504_exposition-la-beaute-sauvera-le-monde-verdun.html |
Yannépargnant éco-responsable convaincu et consultant fintech souhaitant partager son expérience, fondateur de gisemo Archives
Janvier 2019
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